Sommaire
Retour sur l’assemblée
diocésaine des bénévoles
Les équipes en action
Aide-mémoire
simple « accès et utilisation de La Place
Les équipes en action
ECSI dans un
collège à Houilles
Les élèves du lycée Grandchamp animent un Bouge Ta Planète à l’école des Bourdonnais à Versailles
Les élèves du lycée Grandchamp animent un Bouge Ta Planète à l’école des Bourdonnais à Versailles
L'équipe locale
des Essarts le Roi vend du vin et du chocolat chauds au marché
de Noël au profit du CCFD Terre Solidaire
Rencontre sur l'extractivisme à Viroflay
Le CCFD-Terre
Solidaire alerte sur l’extractivismeRencontre sur l'extractivisme à Viroflay
Une nouvelle année vient de commencer et
je veux vous souhaiter qu’elle soit bonne c’est-à-dire qu’elle
vous rende heureux ainsi que vos proches.
Que cette année soit bonne, mais qu’est que cela veut dire ?
Je pense que nous avons tous notre propre définition et je voudrais essayer de vous partager quelques pistes.
Je ne pense pas que le bonheur soit fait pour se vivre seul.Il est appelé à circuler entre nous, à se nourrir du bonheur de l’autre.
Dans notre monde d’aujourd’hui nous sommes abreuvés de mauvaises nouvelles : les catastrophes naturelles, les guerres, les difficultés de nos vies, celles de certaines populations ou groupes humains.
Ouvrons les yeux, les oreilles, car le regard et l’ouïe sont déjà deux moyens pour découvrir le monde et apercevoir ce qui est beau autour de nous.
Oh ce ne sont bien souvent que dans les petites manifestations des relations de la vie que nous pouvons apercevoir le bonheur, il ne fait pas beaucoup de bruit, il reste bien souvent discret.Apprenons à voir les mains tendues discrètement, les fidélités solides et silencieuses, les engagements professionnels ou personnels désintéressés, etc…
Je souhaiterais pour terminer vous offrir ces quelques lignes du livre « Il n’y a pas d’autre solution que d’aimer » d’Olivier LEBORGNE évêque d’Arras.
« Nous ne sommes pas des îles, isolés sans lien les uns avec les autres. Toute société constitue un réseau de relations toujours interactives, d’une manière ou d’une autre, les unes avec les autres. Parce que l’amour veut le bien de l’autre quand bien même ce dernier est d’autant plus difficile à définir qu’il ne pourra jamais se l’approprier, il ne peut démissionner devant la question de la vérité ; « Amour et vérité se rencontrent » déclare le psaume 84 dans la Bible, « Justice et paix s’embrassent ».
Bonne et sainte année de l’Espérance.
Bernard Colignon aumônier CCFD 78
Que cette année soit bonne, mais qu’est que cela veut dire ?
Je pense que nous avons tous notre propre définition et je voudrais essayer de vous partager quelques pistes.
Je ne pense pas que le bonheur soit fait pour se vivre seul.Il est appelé à circuler entre nous, à se nourrir du bonheur de l’autre.
Dans notre monde d’aujourd’hui nous sommes abreuvés de mauvaises nouvelles : les catastrophes naturelles, les guerres, les difficultés de nos vies, celles de certaines populations ou groupes humains.
Ouvrons les yeux, les oreilles, car le regard et l’ouïe sont déjà deux moyens pour découvrir le monde et apercevoir ce qui est beau autour de nous.
Oh ce ne sont bien souvent que dans les petites manifestations des relations de la vie que nous pouvons apercevoir le bonheur, il ne fait pas beaucoup de bruit, il reste bien souvent discret.Apprenons à voir les mains tendues discrètement, les fidélités solides et silencieuses, les engagements professionnels ou personnels désintéressés, etc…
Je souhaiterais pour terminer vous offrir ces quelques lignes du livre « Il n’y a pas d’autre solution que d’aimer » d’Olivier LEBORGNE évêque d’Arras.
« Nous ne sommes pas des îles, isolés sans lien les uns avec les autres. Toute société constitue un réseau de relations toujours interactives, d’une manière ou d’une autre, les unes avec les autres. Parce que l’amour veut le bien de l’autre quand bien même ce dernier est d’autant plus difficile à définir qu’il ne pourra jamais se l’approprier, il ne peut démissionner devant la question de la vérité ; « Amour et vérité se rencontrent » déclare le psaume 84 dans la Bible, « Justice et paix s’embrassent ».
Bonne et sainte année de l’Espérance.
Bernard Colignon aumônier CCFD 78
Samedi 11 janvier 40 bénévoles du CCFD-Terre
solidaire se sont retrouvés à Ozanam pour préparer l’animation de la
campagne de Carême 2025.
Après une méditation sur l’Évangile de St Matthieu au chapitre 25 (« chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »), nous avons chanté le Seigneur semeur de bon grain.
Philippe Tellier nous a rappelé le sens de la « Souveraineté alimentaire » pour le CCFD-Terre solidaire », à partir de l’évolution de cette notion dans le temps et de son actualité. De nombreux partenaires sont choisis pour leur action au service de l’Agroécologie Paysanne et solidaire.
Quelques nouvelles des évolutions du CCFD-Terre Solidaire (nouvelle présidente, nouvel aumônier) et du projet régional de rapprochement avec les partenaires des Philippines ont rappelé que les bénévoles des Yvelines ne sont pas seuls dans leur action.
Les bénévoles se sont répartis en ateliers pour échanger et se former sur 4 thèmes :
- Quels mots pour transposer l’Évangile de Matthieu 25 aujourd’hui ?
- Comment préparer une visio conférence à partir des propositions du national ?
- Comment animer un temps spirituel partir des outils numériques mis à disposition par le national ?
- Comment communiquer auprès du public des chrétiens ?
Le compte rendu des ateliers sera envoyé séparément à tous.
Enfin Chacun a pu repartir sur son territoire avec la documentation nécessaire pour animer la campagne de Carême.
Merci à l’équipe de permanence d’avoir préparé avec efficacité tout le matériel bien adapté aux besoins de chaque paroisse.

Daniel FERRAND
Après une méditation sur l’Évangile de St Matthieu au chapitre 25 (« chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »), nous avons chanté le Seigneur semeur de bon grain.
Philippe Tellier nous a rappelé le sens de la « Souveraineté alimentaire » pour le CCFD-Terre solidaire », à partir de l’évolution de cette notion dans le temps et de son actualité. De nombreux partenaires sont choisis pour leur action au service de l’Agroécologie Paysanne et solidaire.
Quelques nouvelles des évolutions du CCFD-Terre Solidaire (nouvelle présidente, nouvel aumônier) et du projet régional de rapprochement avec les partenaires des Philippines ont rappelé que les bénévoles des Yvelines ne sont pas seuls dans leur action.
Les bénévoles se sont répartis en ateliers pour échanger et se former sur 4 thèmes :
- Quels mots pour transposer l’Évangile de Matthieu 25 aujourd’hui ?
- Comment préparer une visio conférence à partir des propositions du national ?
- Comment animer un temps spirituel partir des outils numériques mis à disposition par le national ?
- Comment communiquer auprès du public des chrétiens ?
Le compte rendu des ateliers sera envoyé séparément à tous.
Enfin Chacun a pu repartir sur son territoire avec la documentation nécessaire pour animer la campagne de Carême.
Merci à l’équipe de permanence d’avoir préparé avec efficacité tout le matériel bien adapté aux besoins de chaque paroisse.

Daniel FERRAND
Le CCFD-Terre solidaire interroge les éco
volontaires !
A travers un projet de collecte de téléphones «
dormants » dans les tiroirs de nos maisons , les jeunes éco volontaires
du collège Ste Thérèse de Houilles ont découvert que prendre soin de la
terre , en freinant l'extractivisme des matières premières dont sont
friands nos téléphones, c'était aussi prendre soin des hommes. Avec
enthousiasme ils sont allés interpeller les autres élèves en passant
dans toutes les classes en déposant des boîtes de collectes et des
affiches dans des endroits stratégiques du collège. A ce jour une
trentaine de téléphones sont récoltés et les jeunes un peu déçus veulent
passer la vitesse supérieure ! A la rentrée de janvier ils s'attelleront
à la réalisation d'une vidéo à diffuser sur le site de l'établissement.
Affaire à suivre !
Maryse Lebée
Maryse Lebée

Le bac de collecte est bien visible et prêt à recevoir les portables

Le bac se remplit rapidement !

Dans le cadre de la Pastorale, des
Terminales du lycée notre Dame de Grandchamp, 10 élèves ont
choisi l’atelier « Bouge Ta Planète » animé par le CCFD-Terre
Solidaire pour partager leurs connaissances avec les enfants du CM2
et les sensibiliser à la «cause de la protection de la Planète » .
Les enfants de CM2 ont été invités à construire avec le jeu JENGA, une tour symbolisant la Planète :
1. Sa beauté et ses bienfaits pour les hommes et les femmes, c’est un don de Dieu,
2. Les risques liés à l’activité humaine,
3. Comment la rendre durable.
Les enfants de CM2 ont été invités à construire avec le jeu JENGA, une tour symbolisant la Planète :
1. Sa beauté et ses bienfaits pour les hommes et les femmes, c’est un don de Dieu,
2. Les risques liés à l’activité humaine,
3. Comment la rendre durable.
Les enfants étaient invités à illustrer ces
trois situations dans leur vie quotidienne, ils se sont montrés
enthousiastes (même parfois un peu trop ! ) pour faire avancer la
construction, sa fragilisation et sa reconstruction.
Ils étaient heureux de participer, reconnaissants de voir leurs aînés jouer et échanger avec eux sur l’avenir de la Planète.
Les expressions des enfants : « J’ai aimé jouer avec les grands, j’ai été triste de voir la tour s’effondrer, je ferai plus attention, c’est à nous de reconstruire, j’ai été fier de pouvoir reconstruire… »
Ils étaient heureux de participer, reconnaissants de voir leurs aînés jouer et échanger avec eux sur l’avenir de la Planète.
Les expressions des enfants : « J’ai aimé jouer avec les grands, j’ai été triste de voir la tour s’effondrer, je ferai plus attention, c’est à nous de reconstruire, j’ai été fier de pouvoir reconstruire… »


L'équipe
locale des Essarts le Roi vend du vin et du chocolat chauds au marché de
Noël au profit du CCFD Terre Solidaire

Il ne faisait pas chaud le week-end du 14-15
décembre et les bénévoles ont dû se couvrir chaudement, mais ils ont
été récompensés puisqu’au cours de ces 2 jours ils ont servi plus de
180 verres. Ce qui a permis de verser près de 370 € au CCFD Terre
Solidaire.
Ils en ont également profité pour faire connaître leur association à bon nombre de visiteurs qui ne la connaissaient pas.
Au printemps prochain ils participeront à la fête de la nature avec d'autres activités.
Ils en ont également profité pour faire connaître leur association à bon nombre de visiteurs qui ne la connaissaient pas.
Au printemps prochain ils participeront à la fête de la nature avec d'autres activités.
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Bonne année dans l'Espérance.
Rencontre sur l’extractivisme à
Viroflay
Plusieurs intervenants ont évoqué ce thème en apportant chacun un
éclairage très pertinent.
Christophe Poinsot, Directeur Délégué du BRGM a présenté la problématique des minerais :
• Dépendance de plus en plus importante de nos sociétés vis-à-vis des minerais : pour répondre aux attentes de la création de produits pour la transition écologique (protéger la planète) et numérique (développement des outils numériques : portables)
• Spécificités du marché des ressources minérales. Une mine correspond à plusieurs métaux, le principal et les dérivés qui sont dépendants du maintien de l’activité principale. Investissements très couteux se heurtant à la volatilité des prix
• Rôle particulier de la Chine : ambition d’être la première puissance technologique et politique ce qui entraine un besoins de ressources minérales entrainant un accaparement des terres
• Les solutions : sécuriser les chaines d’approvisionnements, ouvrir de nouvelles mines respectueuses de l’environnement, ET diminuer notre demande en produits donc en minerais
• Vers la mine « responsable » ? en respectant 3 principes : impliquer l’ensemble des parties dans les décisions, réduire l’impact environnemental, distribuer équitablement les bénéfices.
Mathilde BROCHARD chargée de mission nationale du CCFD-TERRE-SOLIDAIRE a rendu comte de son voyage en Amérique latine en témoignant de ce que vivaient les populations locales.
• Impacts de l’extractivisme en Amérique latine : Eldorado infernal
• Conséquences liées à l’exploitation de l’extraction de lithium en Bolivie
Jean-Pierre BECUE a rappelé le combat d’Amnesty International liés à l’extraction de minerais.
• Violations des droits humains
• Impacts environnementaux et sanitaires
• Fragilité des Pays concernés : Corruption, injustice, évasion fiscale
L’assistance a beaucoup apprécié les présentations documentées et accessibles de ce thème. Les intervenants se sont ensuite prêtés au jeu des questions réponses en dialogue avec le public présent.
Une bonne mise en marche pour d’autres animations sur le même thème.
Daniel FERRAND
Christophe Poinsot, Directeur Délégué du BRGM a présenté la problématique des minerais :
• Dépendance de plus en plus importante de nos sociétés vis-à-vis des minerais : pour répondre aux attentes de la création de produits pour la transition écologique (protéger la planète) et numérique (développement des outils numériques : portables)
• Spécificités du marché des ressources minérales. Une mine correspond à plusieurs métaux, le principal et les dérivés qui sont dépendants du maintien de l’activité principale. Investissements très couteux se heurtant à la volatilité des prix
• Rôle particulier de la Chine : ambition d’être la première puissance technologique et politique ce qui entraine un besoins de ressources minérales entrainant un accaparement des terres
• Les solutions : sécuriser les chaines d’approvisionnements, ouvrir de nouvelles mines respectueuses de l’environnement, ET diminuer notre demande en produits donc en minerais
• Vers la mine « responsable » ? en respectant 3 principes : impliquer l’ensemble des parties dans les décisions, réduire l’impact environnemental, distribuer équitablement les bénéfices.
Mathilde BROCHARD chargée de mission nationale du CCFD-TERRE-SOLIDAIRE a rendu comte de son voyage en Amérique latine en témoignant de ce que vivaient les populations locales.
• Impacts de l’extractivisme en Amérique latine : Eldorado infernal
• Conséquences liées à l’exploitation de l’extraction de lithium en Bolivie
Jean-Pierre BECUE a rappelé le combat d’Amnesty International liés à l’extraction de minerais.
• Violations des droits humains
• Impacts environnementaux et sanitaires
• Fragilité des Pays concernés : Corruption, injustice, évasion fiscale
L’assistance a beaucoup apprécié les présentations documentées et accessibles de ce thème. Les intervenants se sont ensuite prêtés au jeu des questions réponses en dialogue avec le public présent.
Une bonne mise en marche pour d’autres animations sur le même thème.
Daniel FERRAND


Le CCFD – Terre Solidaire a lancé en
décembre une campagne de signature d’un manifeste pour s’opposer
aux pratiques des grandes sociétés multinationales.
Rien ne justifie de traiter ainsi des êtres humains et des
écosystèmes. Les populations locales qui subissent ces injustices
tentent d’alerter et de dénoncer ces pratiques mais sont ignorées,
voire réprimées avec violence. Elles devraient être écoutées et
associées plutôt que bâillonnées et oubliées. C’est leur droit et il
n’est pas négociable. Impliquer les populations locales et obtenir
leur consentement est crucial tant ces projets peuvent transformer
leur existence de manière irréversible.
L’équipe nationale nous invite à diffuser ce manifeste et à le faire signer à un maximum de personnes.
Ce n’est pas un type d’action auquel nous sommes habitués et il nous semble important de bien en clarifier à la fois les objectifs et les limites.
OUI, il est essentiel de dénoncer des pratiques inadmissibles et, ce, en nous appuyant sur la loi sur le devoir de vigilance de 2017 en France et sur la directive européenne de 2024 qui reste à transposer dans les législations des 27 états membres. Par ailleurs, des discussions sur ce sujet sont engagées au niveau mondial mais nul ne peut prévoir quand elles pourront aboutir.
MAIS, il nous faut rester très conscients que nous ne pouvons être crédibles que si nous sommes prêts à titre individuel et collectif à en tirer les conséquences sur nos modes de vie.
Si nous considérons la question des mines, celles-ci et le raffinage des métaux ont été localisées dans les pays du sud parce qu’elles détruisent l’environnement et emploient des produits très polluants. Il serait illusoire de penser que le problème peut être résolu simplement et sans autres conséquences qu’une réduction des profits des sociétés extractives.
La demande de nombreux minerais est en train de croître énormément pour fournir panneaux solaires, éoliennes, voitures électriques…, mais aussi objets connectés er centres de données, sans oublier une relance de la production d’armements de plus en plus sophistiqués !
Alors, en plus de la diffusion de ce manifeste, que pouvons-nous faire pour réduire la demande de minéraux :

Des multinationales, notamment
françaises, exploitent et exportent massivement des ressources
telles que le pétrole, le gaz, l’eau, les terres et le vent,
mais aussi des minerais comme le lithium, le cuivre et le
nickel. Elles polluent l'environnement, accaparent des terres
ancestrales, expulsent et menacent des populations... pour
fabriquer nos batteries électriques, produire notre
alimentation et garantir nos modes de vie. Qui d’entre nous
accepterait de se voir imposer de tels abus ?
L’équipe nationale nous invite à diffuser ce manifeste et à le faire signer à un maximum de personnes.
Ce n’est pas un type d’action auquel nous sommes habitués et il nous semble important de bien en clarifier à la fois les objectifs et les limites.
OUI, il est essentiel de dénoncer des pratiques inadmissibles et, ce, en nous appuyant sur la loi sur le devoir de vigilance de 2017 en France et sur la directive européenne de 2024 qui reste à transposer dans les législations des 27 états membres. Par ailleurs, des discussions sur ce sujet sont engagées au niveau mondial mais nul ne peut prévoir quand elles pourront aboutir.
MAIS, il nous faut rester très conscients que nous ne pouvons être crédibles que si nous sommes prêts à titre individuel et collectif à en tirer les conséquences sur nos modes de vie.
Si nous considérons la question des mines, celles-ci et le raffinage des métaux ont été localisées dans les pays du sud parce qu’elles détruisent l’environnement et emploient des produits très polluants. Il serait illusoire de penser que le problème peut être résolu simplement et sans autres conséquences qu’une réduction des profits des sociétés extractives.
La demande de nombreux minerais est en train de croître énormément pour fournir panneaux solaires, éoliennes, voitures électriques…, mais aussi objets connectés er centres de données, sans oublier une relance de la production d’armements de plus en plus sophistiqués !
Alors, en plus de la diffusion de ce manifeste, que pouvons-nous faire pour réduire la demande de minéraux :
- Pratiquer la
sobriété (réduire nos achats, louer quand c’est possible, faire
réparer plutôt que de remplacer, recycler les équipements dont
nous n’avons plus l’usage ou en fin de vie…)
- Accepter le
principe de payer plus cher les équipements que nous continuerons
d’acheter pour payer le juste prix des minerais utilisés pour les
fabriquer.
- Faire pression
sur nos décideurs politiques et économiques pour qu’ils prennent
des décisions permettant un usage plus responsable de ces
minerais.
Vous voulez simplement être au courant de
l’actualité du CCFD-Terre Solidaire en Île-de-France : Cliquez ici
